D'en bas on voit mieux le ciel

D'en bas on voit mieux le ciel, c'est mon nouveau roman disponible sur Kessel Media sous forme de newsletter. Découvrez-le chaque semaine dans votre boîte mails ! Bonne lecture.

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Par Omar Benlaâla
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Pourquoi cette newsletter ?

Pour sortir mon nouveau livre des sentiers battus de l’édition en proposant sa lecture à des lectrices et lecteurs qui surfent sur la toile plus qu’ils ne flânent en librairie.

Pour soutenir le projet PoM Culture, l’association d’une philosophe et d’un écrivain qui expérimentent de nouvelles pratiques sociales et culturelles.

Pour participer à la dynamique d’un nouveau média qui favorise le partage de contenus et permet de toucher une audience variée.

Omar Benlaâla

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Dealer, prédicateur, laveur de mort… j’ai connu mille vies avant d’être découvert sur internet par Pierre Rosanvallon qui édite mon premier livre, La Barbe (Seuil, 2015), dans lequel je raconte ma déscolarisation et mon engagement religieux.

En 2016, j’écris l’Effraction en réaction au débat sur la déchéance de nationalité, et à Histoire de la violence d’Edouard Louis, ouvrage qui met en scène un maghrébin sans parole alors qu’il est accusé de viol et de tentative de meurtre.

En 2018, c’est Flammarion qui édite mon troisième livre, Tu n’habiteras jamais Paris, récompensé du Prix de la Porte Dorée pour avoir mêlé les portraits d’un maçon kabyle du 20e siècle, mon père, et d’un ouvrier creusois du 19e siècle, Martin Nadaud.

En 2024 je fais le choix d’auto-éditer mon nouveau roman pour en faire un objet social autant que littéraire, et interroger à travers sa publication mon statut d’écrivain, entre fascination et précarité.

Pour cela, je m’associe à la philosophe Pauline Mandret-Moricau pour fonder PoM Culture, et faire le bilan d’une décennie d’écriture.